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Des professeurs de l’Institut au colloque de l’Université catholique du Congo

À l’occasion de l’anniversaire de ses 60 ans, l’Université catholique du Congo (UCC) a organisé un colloque international sur le thème « Christianisme, rationalités et destinée de l’Afrique ». L’évènement s’est déroulé à Kinshasa, du 25 au 29 avril 2017 sous le patronage de la Conférence épiscopale nationale du Congo.

Le programme s’articulait autour de diverses thématiques telles que les défis du christianisme et de l’Église en Afrique, la contribution des universités et des institutions internationale à la construction de l’avenir de l’Afrique, etc. Bien que la plupart des conférenciers provenaient d’universités catholiques africaines (Afrique de l’ouest, République centrafricaine), les universités partenaires de l’UCC étaient également représentées, notamment l’Université catholique de Louvain ainsi que l’Institut catholique de Paris.

La délégation de l’Université de Montréal comptait trois professeurs de l’Institut d’études religieuses (Jean-Marc Charron, Ignace Ndongala et Géraldine Mossière) ainsi qu’un professeur de la Faculté de droit (Hervé Prince) dont le déplacement a été financé par la DRI. Les communications des trois représentants de l’Université de Montréal ont été bien reçues par un public étudiant alerte et prompt au débat. La présence de l’Université de Montréal à ce colloque visait à sceller un accord de partenariat avec l’UCC dont la signature a été finalisée au cours du séjour. Ce partenariat permettra notamment de faciliter l’échange d’étudiants ainsi que la circulation de professeurs entre les deux universités. À cet égard, la faculté de théologie de l’UCC qui semble particulièrement dynamique s’est montrée enthousiaste pour accueillir des professeurs de l’IÉR pour des enseignements concentrés sur quelques semaines intensives de cours (praxéologie, spiritualité, etc.). Par ailleurs, l’UCC ne comptant pas de faculté des sciences sociales, elle a également démontré de l’intérêt pour recevoir des professeurs dans des disciplines telles que l’histoire, l’anthropologie, etc.

En dépit (et peut-être en raison) de la rigueur des conditions de vie à Kinshasa, notre délégation a reçu un accueil extrêmement chaleureux et enthousiaste.

Source : Géraldine Mossière, professeure agrégée