Benjamin Gagné s'intéresse aux champs académiques liés aux jeunes et la (non) religion, la désaffiliation religieuse (déconversion) et la liberté d’expression, l’évangélisme et sa relation avec la société urbaine, l’identité religieuse et culturelle des Québécois. Ces intérêts se combinent à un intérêt marqué pour les théories socioreligieuses et les approches en recherche qualitative, particulièrement les approches de type autobiographique et phénoménologique. L’ancrage en sciences des religions est interdisciplinaire, au carrefour de la théologie pratique de type empirique, c.-à-d. fondée sur l’usage de méthodes de terrain, et de la sociologie de la religion dans une approche pragmatiste et socioanthropologique.

Formé initialement en technique aéronautique, il a acquis le sens de la rigueur, des habiletés techniques, une expérience approfondie du travail en équipe et un sens du leadership en tant que chef d'équipe. Reprenant les études universitaires en 2013, il y a développé un goût marqué pour la recherche, l’écriture et la communication scientifique, comme l’illustrent les activités menées durant le parcours de la maîtrise. 

Solange Lefebvre s’est illustrée à travers ses études sur la sécularisation et la laïcité, la sécularité chrétienne, les nouveaux défis que pose la diversité religieuse aux états, les accommodements raisonnables, le christianisme, la radicalisation, ainsi que sur les jeunes et les rapports de générations.  Elle vise à éclairer les citoyens et citoyennes, les décideurs, au sujet des grands défis accompagnant la prise en compte de la diversité culturelle et religieuse.  L'étude de plusieurs aspects concernant les cultures et les croyances, les visions du monde humain et naturel, les motivations profondes, l'intéresse au plus haut point.